• J'ai des troubles de personnalité...Ce qui fait que chaque situation où je me trouve, suscite en moi des sentiments contradictoires, des impulsions opposés, un comportement paradoxal...
    Cyclothymique, Borderline, Bipolaire, ([rires]Schizo?)
    Je ne sais pas.Ou je n'en suis pas sûre.Ou je crains d'en être quasiment sûre. Bref.Vous avez compris quoi
    .


  • J'ai été le blogg 31586...

  • Je suppose que je dois encore tout recommencer...


    Tout effacer, tout refaire.
    ça me rappelle quand j'avais encore dix-sept piges, quand j'ai débarqué dans la plate-forme.

    Je savais même pas ce que c'était qu'un blog.

    ça m'a bien servi. C'était mes premières fréquentations "IVL" quand je ne savais même pas ce que ça voulait dire.


    Puis j'en ai fait plusieurs, ailleurs, pour voir, pour tester, pour scinder chaque partie de moi qui aurait pu être différente de l'autre.

    [mouhahahaha]

    Puis tous ces pseudos...c'est mon historique, en gros.

    _________

    ça me va.

    Au moins, ça me donne à nouveau l'envie d'écrire, le genre de truc con qu'on écrit comme ça, dans tout le putain d'élan égocentrique conscient propre à ce genre d'initiative... mais plus tard, j'ai vu que ça pouvait servir.

    C'est peut-être la seule trace concrête qui reste de nous à ce moment précis, le papier carbone de la personnalité du moment, de ces états d'esprit...


    Une des choses qui fait que je ne considère pas ces années comme du vent, même si ce n'est dans la forme, que d'une suite de vide évènementiel constrastant avec ses affects idiots dont on aimerait se débarasser, en général.


    C'est fou, de se souvenir, parfois.


    Que ce soit dans la capacité, ou la volonté.



    votre commentaire
  • <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    [Bien sûr, le monde est infect, ah, on a beau cracher sur la vanité du monde...Ne dis pas que je suis aigri, tu vas voir ce que c'est sinon...L'oubli, haha, l'oubli.

    Fabuleux prétexte, n'est ce pas ? l'oubli, non/ ce n'est q'un leurre, que l'on pense  pouvoir choisir à loisir. Des sirs en trop. Désiranthrope.]

    <o:p> </o:p>

    Je mise dessus.

     /ô misanthropie, tu n'es qu'un mot/

    Non, ne dis rien, tu es heureux, très bien, tu t'emmerdes, et tu passes.

    <o:p> </o:p>

    Non mais.

    <o:p> </o:p>

    L'oubli. J'ai oublié. Tout le monde sait, et le monde accepte, tellement il a abusé de cette phrase. Excuse, ou, insensible, oui. J'ai oublié ce qu'était ressentir, mais je ressens ce vide que laisse l'indifférence. N'être sensible, à quoi, au vide.

    <o:p> </o:p>

    C'est si dur à transporter, le vide,  quand on en a besoin. Besoin d'espace, besoin d'ouverture, qu'on puisse y déployer ses sens, ses pensées, sans honte et sans pudeur, dans cette épaisse brume égocentrique que l'on appelle le Moi, en conscience, l'Autre étant attaché.

    <o:p> </o:p>

    Distinguer un barreau, deux, et voir le cachot entier. Il ne demande rien, ni même à sortir de là, ou a être apaisé. Mendier un regard, se nourrir de regard, cela suffit à sa survie...

    <o:p> </o:p>

    Et si, le regard ne le touchait pas, il pourrait mourir en paix. Je ne peux pas mourir, on ne peut pas, ils nous regardent...pudeur de souffrir, pudeur de jouir qui retient aussi ce cri, même quand on est, quand je suis/ seule.

    <o:p> </o:p>

    La minute d'après, la brume épaississante, de la déchirer, couper aux ciseaux. L'Autre souffre, je respire et le Moi se détruit. Qu'est ce qui fond,là...

    Je lève la tête/on s'enquiert de la cause/ d'un air amusé ... Absence/absence.

    Errance.

    <o:p> </o:p>

    Sous une lune erratique, les impressions se meuvent en rayons étranges sur les pensées qu'elles éclairent...pour mieux égarer.


    1 commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires